Département d’État des États-Unis
Bureau de la porte-parole
Pour diffusion immédiate
Déclaration du secrétaire d’État, M. Pompeo
Le 22 août 219
Nous marquons aujourd’hui le premier anniversaire de la Journée internationale de commémoration des personnes victimes de violences en raison de leur religion ou convictions. Cette journée nous rappelle la nécessité de promouvoir et de protéger le droit inaliénable à la liberté de religion, et les conséquences quand les pays ne le font pas.
Promouvoir la liberté de religion ou de conviction incombe à la communauté mondiale, et c’est une priorité essentielle en matière de politique étrangère pour l’administration Trump. Les persécutions du fait de la religion continuent à augmenter, en particulier dans des pays comme la Chine, l’Iran et la Birmanie. Pour relever ce défi, j’avais convoqué la seconde Conférence ministérielle pour l’avancement de la liberté de religion à Washington, le mois dernier. Le plus grand événement de ce genre dans l’histoire du Département d’État, elle a réuni plus d’un millier de membres de la société civile et de communautés religieuses, plus d’une centaine de gouvernements et des survivants de persécution religieuse de presque toutes les communautés confessionnelles et d’aucune. Ensemble, nous avons envoyé un message clair, transcendant les clivages religieux, politiques et ethniques, portant sur un engagement mondial à lutter contre les persécutions et promouvoir la liberté religieuse pour tous.
Personne ne devrait courir le risque d’être persécuté du fait sa religion ni pour avoir changé de conviction ou d’appartenance à une communauté de croyance. Tous les États se doivent de protéger les populations contre les préjudices, quelles que soient leurs convictions, et de tenir responsables les auteurs des persécutions.